La façon dont vous acquérez le titre de propriété d’un bien a une incidence sur votre propriété légale. Il aura également une incidence sur la façon dont la propriété est transférée en cas de décès du propriétaire initial. Parmi les types de titres de propriété, on peut citer la propriété unique, la propriété conjointe ou la propriété communautaire. Selon le type de titre, les personnes concernées pourraient être confrontées à des conséquences fiscales. Plus d’informations sur le titre de propriété maison
Les lois régissant la propriété peuvent varier selon l’État dans lequel vous résidez. À titre d’exemple, certains États restreignent la façon dont les parties peuvent détenir un titre.
Voici les formes les plus courantes de titres de propriété, et comment elles diffèrent les unes des autres. Si vous envisagez de formuler votre titre, parlez-en à un avocat pour savoir exactement comment les lois de votre État et les circonstances fiscales s’appliqueraient à votre titre potentiel.
Titre unique et séparé d’un acte
Les personnes qui détiennent ce type de titres sont les seuls propriétaires du bien. Étant donné que de nombreux couples achètent des biens ensemble, ces titres indiqueront souvent explicitement si le propriétaire est célibataire ou divorcé (« non marié »).
Si un couple marié (ou tout partenariat d’achat de biens) veut que le bien soit au nom d’une seule partie, ce serait un exemple de titre unique. L’autre partie, qui ne figure pas sur le titre, ne partage pas les droits sur les bénéfices futurs et peut perdre sa voix dans le contrôle de la propriété.
Il arrive que seule une partie des deux acheteurs ou plus puisse prétendre à un prêt hypothécaire. Dans ce cas, il est courant d’ajouter la ou les personnes omises en enregistrant un acte de renonciation après la clôture. Toutefois, il faut toujours demander l’avis d’un avocat, car le prêt peut contenir une clause d’aliénation.
Titre de propriété conjointe avec droit de survie
Ce type de propriété est également connu sous le nom de copropriété traditionnelle et confère une part égale de la propriété à chaque partie impliquée. Si l’une des parties décède, le titre de propriété est transféré au survivant, indépendamment de ce que le testament peut spécifier3.La tenance conjointe exige quatre unités :
- Temps : Chaque propriétaire doit recevoir un titre en même temps.
- Titre : Chaque propriétaire doit recevoir le titre sur le même acte ou document attestant du titre.
- Intérêt : Chaque propriétaire reçoit la même part proportionnelle et égale de propriété.
- Possession : Chaque propriétaire a un droit de possession identique.
Si l’un des cotitulaires vend ou transmet à une autre personne l’intérêt créé dans une tenance conjointe, la tenance conjointe est brisée et une tenance commune est créée.
La principale différence entre la tenance conjointe et la tenance en commun est que cette dernière est dépourvue du droit de survie. Les locataires conjoints ne peuvent pas empêcher un autre locataire de rompre la tenance conjointe.
Titre de l’acte en commun
Les locataires en commun partagent la possession de manière égale, mais ils peuvent posséder des parts égales ou inégales de la maison. Si une partie décède, l’intérêt de cette personne passe aux héritiers, plutôt que d’être transféré aux autres parties. Les locataires en commun partagent une unité : le droit de possession. Tous les locataires en commun ont le droit d’occuper la propriété, et aucune partie ne peut exclure l’autre.
Titre d’acte de propriété communautaire avec droit de survie
Ce type de titre combine essentiellement des aspects des titres de propriété communautaire et des titres de tenance conjointe avec droit de survie. Si une personne décède, la part de propriété de cette personne est transférée au survivant. Comme il y a un droit de survie, les deux signatures sont nécessaires pour grever ou vendre la maison tant que les deux parties sont vivantes. Comme la copropriété avec droit de survie, ce type de titre ne permet pas à l’une ou l’autre des parties de transmettre la propriété respective à un héritier.
Titre de fiducie de l’acte
Avec un titre de fiducie et de transfert, un fiduciaire est propriétaire de la propriété, mais celle-ci est gérée au profit du fiduciant (la personne qui héritera de la propriété). Ceux-ci sont parfois établis dans le but de réduire les impôts sur la succession en cas de décès1.Un avocat spécialisé dans la planification successorale peut mettre en place une fiducie reconnue par l’Internal Revenue Service (IRS).
Société ou partenariat
Il est possible de former une société ou un partenariat et de conférer la propriété des biens à cette entité. L’entité juridique est propriétaire des biens, et non les propriétaires individuels. Le type d’entité – comme une société à responsabilité limitée (LLP), une fiducie de placement immobilier (REIT) ou une société S – aura des conséquences fiscales uniques. Une société S, par exemple, peut aider les propriétaires à éviter la double imposition qui se produit dans différentes structures d’entreprise.
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